Ce texte est très personnel. Il m'a été envoyé
et j'ai eu envie de vous le confier Bel Ange, j'y ai pensé et repensé,
Ce blog n'aurait en effet que trop duré.
Il ne dû son existence que pour servir
D'un être aimé, du moment, des désirs.
Ce blog fut par son créateur une sorte de laboratoire
Et à la fois un bouclier, qui souhaitait supporter,
En lieu et place de l'être avec qui il conjugua le verbe aimer
Naguère, à la perfection de son blog, d'éventuels déboires.
Modestement, je crois qu'il fut utile,
Oh, un tout petit peu, la chose n'étant pas facile.
Son créateur étant à l'infini, loin de la perfection,
Colosse de pierre trop sensible aux émotions
Qui touchent le coeur…
Bel Ange, apaisez votre humeur.
Tout ce qui n’est pas mort
Vit encore.
Le lierre
Prit ses racines dans la pierre
Mais son feuillage s’éprit d’une rose.
Et tant que la rose vivra
Si aucune puissance ne s’y oppose
Dévoilé
Ou à demi dissimulé
Le lierre rester
HUMEUR D'AUTOMNE